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C’était sans conteste le défilé le plus attendu de la fashion week homme : l’arrivée de Jonathan Anderson chez Dior marque une nouvelle ère pour la maison emblématique du groupe LVMH. Présenté le 27 juin 2025 sur la prestigieuse place Vauban, ce show inaugural n’a pas seulement redéfini l’élégance masculine : il a incarné une vision, un souffle nouveau, où se mêlent héritage, innovation et subtilité narrative. Pendant ce temps, dans le Marais, les regards s’attardaient aussi sur les nombreux showrooms animés par des marques de renom – un écosystème dont Galerie Joseph, en tant qu’acteur clé de la location d’espaces éphémères pour la fashion week homme, reste un pilier incontournable.

Une mise en scène artistique et confidentielle

À Paris, capitale planétaire de la mode, le moindre détail compte. Dior a choisi une scénographie énigmatique, installée dans un cube contemporain recouvert de sérigraphies évoquant la Gemäldegalerie de Berlin, clin d’œil à l’art classique. À l’intérieur, l’élégance de Chardin dialoguait avec l’audace d’Anderson. Ce décor intimiste et érudit illustre déjà la volonté du nouveau directeur artistique d’ancrer son approche dans une esthétique cultivée, rigoureuse et non spectaculaire.

Jonathan Anderson, tout juste nommé en avril à la tête des collections masculines – puis en juin aux rênes de toutes les lignes de la maison – réussit une entrée fracassante. À seulement 40 ans, celui que Delphine Arnault qualifie de « créateur le plus talentueux de sa génération » impose sa signature tout en respectant l’ADN Dior.

© Photo by Estrop/Getty Images.

Un vestiaire qui brouille les frontières

Dans cette première collection, Jonathan Anderson revisite les classiques de la maison tout en injectant une modernité irrévérencieuse. La veste Bar emblématique devient androgyne, portée avec une jupe-culotte plissée et des chaussettes de foot. Les redingotes héritées du XVIIIe siècle s’associent à des jeans fluides, les cravates régimentaires se détachent ou se portent à l’envers, dans une mise en scène du relâché maîtrisé.

Les silhouettes jouent avec l’ambiguïté des genres et affichent une élégance décontractée. Anderson convoque aussi bien la rose chère à Monsieur Dior que le trèfle irlandais en clin d’œil à ses origines. L’homme Dior 2026 séduit par sa grâce tranquille, sa fraîcheur, son goût du contraste.

Une déclaration de style et de sens

Plus qu’un défilé, c’est une véritable reprogrammation que propose Anderson. Son ambition ? Redonner au vêtement son pouvoir narratif. Reconnecter à l’émotion, à la mémoire, à la sensation. Comme un écho aux mots de Chardin : « On peint avec le sentiment. » Anderson transpose cette approche à la couture masculine : chaque pièce porte un message, une référence, une intention.

Cette philosophie du sensible n’empêche pas la désirabilité : la collection est ultra-portable, les coupes sont impeccables, les tissus somptueux. Chaque look donne envie d’être porté, détourné, assumé. Le standing ovation final des invités triés sur le volet – parmi lesquels Rihanna, Daniel Craig ou encore Pharrell Williams – confirme l’adhésion immédiate.

Une fashion week homme en pleine effervescence

Le défilé Dior a cristallisé toutes les attentions, mais il s’inscrivait dans un écosystème plus large. Car si la fashion week homme reste le théâtre des grandes maisons, elle s’appuie également sur des dizaines d’événements annexes – défilés confidentiels, présentations intimistes, lancements presse – qui investissent des espaces plus atypiques à travers Paris.

Dans ce paysage bouillonnant, Galerie Joseph s’impose depuis plusieurs saisons comme l’un des acteurs majeurs de la location de showroom dans le Marais. Ses espaces modulables, lumineux, souvent situés à quelques pas de République ou Bastille, offrent un cadre idéal pour les maisons émergentes comme les marques établies. À l’écart de l’agitation des podiums, ces lieux permettent une autre forme de rencontre avec la mode : plus sensorielle, plus immersive, plus proche du public et des acheteurs.

© Photo by Estrop/Getty Images.

Le Marais, cœur battant de la créativité masculine

Alors que Dior magnifiait la place Vauban, c’est dans les rues du Marais que se pressaient journalistes, acheteurs et influenceurs pour découvrir les nouvelles tendances. De la rue de Turenne à la rue Froissart, en passant par les adresses confidentielles de la rue Chapon ou de la place des Vosges, le quartier a vibré au rythme des présentations, des installations artistiques et des fittings privés.

Galerie Joseph, avec ses dizaines d’espaces répartis dans ce périmètre stratégique, a une nouvelle fois joué un rôle structurant dans le succès logistique de cette fashion week homme. Que ce soit pour accueillir un showroom sur trois jours ou un cocktail de lancement le temps d’une soirée, ses lieux séduisent par leur cachet architectural, leur polyvalence et leur parfaite localisation.

Un nouveau souffle pour Dior, un avenir prometteur pour la mode masculine

Avec cette première collection, Jonathan Anderson pose les jalons d’un avenir prometteur pour Dior homme. Ni rupture ni redite, mais une réinvention en douceur qui embrasse à la fois le passé et le présent. Un manifeste du style personnel, libéré des injonctions et habité d’intelligence.

Et tandis que la maison Dior opère cette mue sous les projecteurs, des acteurs comme Galerie Joseph, en arrière-plan mais essentiels, contribuent à faire de Paris le cœur névralgique de la création masculine contemporaine. Un équilibre précieux entre prestige et émergence, entre tradition et expérimentation.

Pour plus d’informations ou pour réserver :

Showroom fashion week homme Galerie Joseph 51 rue de Turenne